LE DERNIER ENCHAîNEMENT

Le dernier enchaînement

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La brume nocturne enveloppait les ruelles pavées de Londres, civilisant tout réverbère en une éclaircissement diffuse, vacillante dans l’humidité de la nuit. Dans son fabrique, un horloger travaillait à la éclairage tremblante d’une lampe à huile, ajoutant les engrenages délicieux d’une chemise à gousset qu’il n’avait jamais réussi à embrasser. Chaque soir, il la posait sur son reconnu, et tout nuit, à minuit formel, elle s’ouvrait d’elle-même, laissant s’échapper un message qu’il ne pouvait ignorer. Ces messages ne contenaient jamais de noms, jamais d’explications, mais ils évoquaient nettement un destinée noyer. Il avait d’abord cru à une plaisanterie, un mécanisme anonyme qu’un maître horloger aurait associé dans l’objet évident lui. Mais lorsqu’il avait amorcé à confronter ces messages aux tailler innombrables du lendemain, il avait compris l’inimaginable : tout décédé annoncée se produisait correctement à savoir décrit. Depuis 60 jours, il notait chaque prédiction dans un carnet, attrayant d’en ôter le banquise. Un planning voyance gratuite, si un tel système avait persisté en ces générations, n’aurait pas existé plus précis que ces gravures macabres qui s’imposaient à lui, nuit coccyxes nuit. Cette nuit-là, l’aiguille de la chemise s’apprêtait à obetenir minuit. L’horloger se redressa, son regard précis sur le couvercle de la chemise. La seconde fatidique arriva, et en tant que grandement, le clapet s’ouvrit avec une précision surnaturel. Un feuille plié en sortit, glissant sur le rêve de son établi. Il le déplia mollement, son cœur battant plus influent que les rouages qui l’entouraient. ' L’heure tombera sur un innocent. ' Il inspira vivement. Ces symboles étaient toujours cryptiques, mais ils ne laissaient nul ombre sur leur tempérance. Il ajouta cette nouvelle annonce à son carnet, organisant les présages de la même façon qu'un planning pour une voyance gratuite, cherchant une représentation, une passerelle, une pensée qui lui permettrait d’anticiper le futur désastre. L’aube s’étendit sur Londres, et il se rendit au kiosque à journaux tels que tout matin. En première thématique, il lut un article contant le coté sombre d’un femmes, écrasé par-dessous l’horloge d’un large hôtel. L’heure était tombée, comme dévoilé. Et il savait que la chemise n’avait pas fini de exprimer.

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